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Sujet n°3726 -
Lenom des couleurs / Der Name der Farben / The name of the colours
- par Webmaster le 15/12/2022 # 11:18
Certains philatélistes prétendent différencier toutes les couleurs. Je veux bien, mais il est trop facile de cocher une nuance dans un catalogue, pour que la cote convienne! Voici deux extraits de "L'encyclopédie des timbres de France de l'Académie de Philatélie, Tome 1 et 2" que m'a envoyé Michaël, que je remercie!
Einige Philatelisten behaupten alle Farben unterscheiden zu Können. Nun gut, aber es ist zu einfach eine Nuance im Katalog anzukreuzen, weil die Bewertung paßt! Hier zwei Auszüge aus "L'encyclopédie des timbres de France de l'Académie de Philatélie, Tome 1 et 2" die mir Michaël gesandt hat, und dem ich danke!
Some philatelists claim to differentiate all colors. That’s fine, but it’s too easy to tick a nuance in a catalogue, for the odds to be right! Here are two excerpts from "L'encyclopedie des timbres de France de l'Académie de Philatélie, Tome 1 et 2" sent to me by Michaël, whom I thank!
Il est pratiquement impossible de donner aux couleurs un nom qui les définisse précisément. Parmi les couleurs naturelles, le rouge du coquelicot des champs, est connu de tous. Il est remarquablement constant, quel que soit le terrain, quelle que soit la région. Qui pourrait cependant le reconnaître entre cinquante rouges présentés. Plus encore, comment évoquer d'autres couleurs naturelles moins constantes, comme les cerises, les groseilles, le sang, les émeraudes, etc. Et surtout comment évoquer une couleur par un nom commercial ; rouge de Smyrne, rouge de Tyr, rouge de Saturne, rouge de Corinthe, rouge de Venise, etc... Des pages pourraient être consacrées sans aucune utilité aux couleurs, aux nuances, aux teintes que l'on obtient par leur mélange. C'est pourquoi, une sélection de "positions" est reproduite seulement ci-dessous. Les encres ont été reconstituées avec les pigments minéraux utilisés en 1848, les teintes de fond se situent dans la gamme moyenne, le papier est un pur chiffon comme celui de 1848.
Entre ces positions se trouve une "zone" dans laquelle se produisent les différentes nuances de tons.On peut les différencier par un indice dans la zone, mais ceci est du domaine des catalographes et du commerce philatélique.
Es ist praktisch unmöglich, Farben einen Namen zu geben, der sie genau definiert.unter den natürlichen Farben, das Rot des Mohns der Felder, ist allen bekannt. Es ist bemerkenswert konsequent, unabhängig von dem Land, unabhängig von der Region. Wer könnte ihn jedoch zwischen fünfzig vorgestellten Rottönen wiedererkennen, und erst recht, wie man andere, weniger konstante Naturfarben wie Kirschen, Johannisbeeren, Blut, Smaragde usw. hervorrufen kann. Und vor allem, wie man eine Farbe durch einen Handelsnamen hervorruft: Smyrna-Rot, Tyrus-Rot, Saturn-Rot, Korinthen-Rot, Venedig-Rot, usw.... Seitenlang könnte man sich mit den Farben, den Nuancen, den Tönungen, die man durch ihre Mischung erhält, beschäftigen, deshalb wird im Folgenden nur eine Auswahl von "Positionen" wiedergegeben. Die Tinten wurden mit den verwendeten Mineralpigmenten von 1848 rekonstituiert. Die Hintergrundtöne liegen im mittleren Bereich, das Papier ist ein reines Lumpenpapier wie das von 1848.
Zwischen diesen Positionen gibt es eine "Zone", in der sich die verschiedenen Farbtöne abspielen, die durch einen Index in diesem Bereich unterschieden werden können, was jedoch in den Bereich der Katalographen und des Philateliehandels fällt.
It is virtually impossible to give colours a name that defines them precisely. Among the natural colors, the red of the poppy of the fields, is known to all.It is remarkably consistent, regardless of the land, regardless of the region. Who could recognize him however between fifty reds presented. Even more so, how to evoke other less constant natural colours, such as cherries, currants, blood, emeralds, etc. And especially how to evoke a color by a trade name; Smyrna red, Tyre red, Saturn red, Corinthian red, Venice red, etc… Pages could be devoted without any use to the colors, the nuances, the tints that are obtained by their mixing. Therefore, a selection of "positions"is reproduced only below. The inks were reconstituted with the mineral pigments used in 1848. The background tints are in the middle range. The paper is a pure rag like that of 1848.
Between these positions is a "zone" in which the various shades of tones take place. They can be differentiated by an index in the area, but this is in the domain of catalographs and philatelic trade.
Zierock Harald
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