Harald,
Entre 1918 et 1920, la grippe espagnole a changé le monde.
30 % de la population mondiale est touchée. On comptera entre 50 et 100 millions de morts.
La spéculation internationale n'est plus en phase avec la réalité du travail d'après-guerre.
D'autant plus qu'en 1926, Wall Street permet aux investisseurs d'acheter des titres avec une couverture de seulement 10 %.
Pour dix dollars achetés, ils ne déposent qu'un dollar. A la vente, ça se complique !
D'où le krach de 1929.
Sur toute la période qui précède cet événement, on observe un frétillement de surcharges sur timbres, comme ce nouveau type, sur cette carte postale de 1925.
Zwischen 1918 und 1920 veränderte die Spanische Grippe die Welt.
30% der Weltbevölkerung war betroffen. Zwischen 50 und 100 Millionen Menschen starben.
Internationale Spekulationen stimmen nicht mehr mit der Realität der Nachkriegsarbeit überein.
Zumal die Wall Street seit 1926 Anlegern erlaubt, Wertpapiere mit einer Deckung von nur 10% zu kaufen.
Für je zehn Dollar, die sie kauften, zahlten sie nur einen Dollar ein. Im Verkauf wird es kompliziert!
Daher der Absturz von 1929.
In der gesamten Zeit bis zu diesem Ereignis gab es auf dieser Postkarte von 1925 eine Flut von Briefmarkenaufdrucken wie zu diesen neuen Typus.
Between 1918 and 1920, the Spanish flu changed the world.
30% of the world's population was affected. Between 50 and 100 million people died.
International speculation is no longer in tune with the reality of post-war work.
Especially since in 1926, Wall Street allows investors to buy securities with a coverage of only 10%.
For every ten dollars they bought, they deposited only one dollar. On sale, it gets complicated!
Hence the crash of 1929.
Over the entire period preceding this event, there was a flurry of surcharges on stamps, like this new type, on this 1925 postcard.
Jean Marc
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